ECS P4S8AG (SiS648 + Xabre 200) | ||||
By Samuel D. - 03/03/2003 | ||||
Performances : P4S8AG
Nous allons tester cette carte en deux parties. Premièrement, nous nous intéresserons aux performances de la carte mère et de son SiS648 pour étudier ensuite les performances de la solution graphique intégrée. Concernant la P4S8AG en elle-même, il y a peu de chance que nous soyons étonné par ses performances puisque cette carte est identique à la L4S8A au niveau de son chipset. Concernant le test, il a été réalisé en mode DDR333 avec un Pentium 4 2.4 Ghz sur FSB 533. Niveau timings mémoires, il s'agit d'une configuration en 2.5-2-2-8-6. Nous avons choisi de comparer la P4S8AG avec un SiS648 classique ainsi qu'avec un i845GE. Les plates-formes de tests sont donc :
Avant de commencer, précisons que les résultats des tests CPUs purs sont strictement identiques. Rien a dire de ce côté. Voyons maintenant les résultats des tests mémoires avec SiSoft Sandra 2003 :
Comme on le constate, les résultats sont quasiment identiques dans cette gamme de chipset. Seul les chipset Dual DDR comme le SiS655 ou l'E7205 parviennent à une importante différence avec des résultats dépassant les 3300 Mo/s. Dans le segment "économique", ces performances ne sont pas accessibles et pas vraiment utiles : Ce segment du marché n'étant pas réservée aux power users mais aux utilisateurs "lambda". Voyons maintenant les résultats obtenus sous un autre benchmark mémoire : PCMark 2002.
Même constatation sous PcMark ou la carte d'ECS parvient même à se placer légèrement devant celle d'Abit. Les performances de ces deux cartes basées sur un chipset identiques sont donc similaire. L'utilisateur ne sera donc pas surpris des résultats. Terminons par une applications "pratique" avant de nous intéresser à ce qui fait l'originalité de la carte : Son GPU intégré.
D'une monotone linéarité, les résultats se suivent et se ressemblent. Inutile donc de poursuivre dans cette voie : L'ECS P4S8AG ne se distingue par de ces concurrentes directes par ses performances pures. Voyons la suite.
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